2 février 2015
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Il y a des temps infinis qui ouvrent des brèches béantes dans un univers à la métronomie parfaite.
Un grain de néant qui hérisse l'épiderme d'une incertitude.
Le bruissement silencieux d'un écho persistant.
Le glissement soyeux d'une ère vers son achèvement.
Il y a des temps infinis dont les oscillements parcellaires crissent d'une discordance à embrasser l'univers .